Hassan Musa
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Yves Velter
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Yves Velter
Born in 1967 in Ostende (Belgium)
Lives and works in Ostende (Belgium)
PRINCIPAL INDIVIDUAL EXHIBITIONS
2009
Pascal Polar Gallery, Knokke (Belgium)
2008
Exit 11, Grand-Leez (Belgium)
2007
Denise Vande Velde Gallery, Alost (Belgium)
9.9 Gallery, Roeselaere (Belgium)
2005
Radical House Gallery, Zug (Switserland)
2004
De Witte Beer, Brugge (Belgium)
2003
Denise Vande Velde Gallery, Alost (Belgium)
Jan Colle Gallery, Gent (Belgium)
2002
U.F.O Gallery, Ostende (Belgium)
2001
Denise Vande Velde Gallery, Alost (Belgium)
Provinciaal Centrum voor Beeldende Kunsten, Hasselt (Netherlands)
De Witte Beer, Brugge (Belgium)
2000 ACF Cercle dF0;étude, Brussels (Belgium)
Electrabel, Anvers (Netherlands)
1999
De gele zaal, Gent (Belgium)
Studio 10 Gallery, Chur (Switzerlands)
Denise Vande Velde Gallery, Alost (Belgium)
PRINCIPAL COLLECTIVE EXHIBITIONS
2009
Exit 11, Grand-Leez (Belgium)
Fenomenale feminatheek, Anvers (Belgium)
2008
De Markten, Brussels (Belgium)
2007
Romestraat 30, Ostende (Belgium)
Jan Colle Gallery, Gent (Belgium)
2006
Voorkamer, Lierre (Netherlands)
De Werft, Geel (Belgium)
2005
Oud Sint-Janshospitaal -Corpus 05, Brugge (Belgium)
2004
Go ! Madrid (Spain)
2001
De slang, Brugge (Belgium)
Raamwerk, Ostende (Belgium)
1999
NICC, Anvers, (Netherlands)
AWARDS
2008
Laureat: De Gouden Klaproos, Anvers, (Netherlands)
COLLECTIONS
Museum Voor Schone Kunsten, Ostende, Mu.Zee, Ostende
INDIVIDUAL CATALOGUES -MONOGRAPHY
2001
Paintings and installations, Private language, Hasselt
2000
Paintings, The whisper, Zug 1997 Paintings and installations, Serendipity, Ostende
PUBLICATIONS
2009
Isel Magazine, « Kunst maken is in de eerste plaats zoeken » par Steven Verschoore
2008
OKV Magazine, « Beelden zonder achtergrond » par Daan Rau
2007
Arts, antiques et auctionsmagazine, « Het verhaal van pijn » par Hugo Brutin
2005
Ventilatie, »Transmitter », par Els Vermeersch
2004
Verzameling UZA, « Art without prescription »
2002
Art Nocturne, « Het lege Fort », par Joannes Késenne
2001
Sherpa, « Private language van Yves Velter » par Luc Lambrecht 2000 Knack-Focus, « Is er een God », par Els Fiers
2000
Knack-Focus, « Is er een God », par Els Fiers
1999
Standaardmagazine, « Reis naar de binnekant », par René de Bok
1998
Kunst en cultuurmagazine, “Dissectie van het schone”, par Joannes Késenne
2005-2006
Provinciehuis Boeverbos, “Presence”-sculpture, Bruges
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Max Neumann
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Anton Solomoukha
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Ricard Aymar
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Edouard Pignon
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Edouard Pignon
1905 Born in Bully, Pas-de-Calais (FR)
14.5.1993 Died in (FR)
INDIVIDUAL EXHIBITIONS
2005
Edouard Pignon - Du rythme entre les choses - Musée d'art moderne de Céret, Céret
1997
Edouard Pignon, rétrospective - Palais des Beaux-Arts Lille, Lille
1976
Edouard Pignon - Musée d'art moderne de Céret, Céret
PRINCIPAL COLLECTIVE EXHIBITIONS
2009
Riccardo Licata e gli amici di Venezia e Parig - Palazzo Della Promotrice Delle Belle Arti, Turin
2007
Homenaje a Picasso - MNBA - Museo Nacional de Bellas Artes Santiago Chile, Santiago
Be-Bomb: the Transatlantic War of Images and all that Jazz. 1946-1956 - Museu d´Art Contemporani de Barcelona - MACBA, Barcelona
2004
Collettiva natalizia - B & B Arte, Mantova
2001
De Artaud ... à Twombly - Centre Pompidou - Musée National d´Art Moderne, Paris
1971
Hommage à Aragon - Musée d'art moderne de Céret, Céret
1964
documenta 3 - Documenta, Kassel
1959
documenta 2 - Documenta, Kassel
1955
documenta 1 - Documenta, Kassel
Dealer Directory
Belgium
Galerie Pascal Polar, Brussels
France
Galerie Odile Oms, Céret
United Kingdom
Hanina Gallery, London (England)
Public collections
Belgium
MAMAC Musée d´Art Moderne et Contemporain, Liège
Chile
Museo de la Solidaridad Salvador Allende, Santiago
Finland
Ateneum Art Museum, Helsinki
Tampere Art Museum, Tampere
France
Musée d'art moderne de Céret, Céret
LAAC - Lieu d'Art et Action Contemporaine de Dunkerque, Dunkerque
Centre Pompidou - Musée National d´Art Moderne, Paris
FRAC - Haute-Normandie, Sotteville-lès-Rouen
Musée d'Art Moderne et Contemporain (MAMCS), Strasbourg
Macedonia (F.Y.R.M.)
Museum of Contemporary Art Skopje, Skopje
Netherlands
Gemeentemuseum Helmond - Boscotondohal, Helmond
United Kingdom
Tate Britain, London (England)
Tate Modern, London (England)
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Bernard Quentin
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Bernard Quentin
Born in 1923 in Picardie (France)
Made his secondary education in the province.
PARIS
1940
Vit le plus souvent à Paris afin de poursuivre des études artistiques (Ecole nationale des beaux-arts et Ecole des arts décoratifs)
peinture, sculpture, architecture. Diplôme. Participe à la Résistance: de 1942 à 1944, agent P2 Réseau Manipule, armée de l'air.
BELGIQUE-ALLEMAGNE
1945
Démobilisation. Après avoir vu les camps de la mort. Adhère alors à des mouvements d'extrême-gauche et de ce fait rencontre Picassoà la Maison de la Pensée à Paris. Le revoit souvent et subit son influence. Transpose ainsi les formes aiguës de son Guernica en une écriture abstraite assez expressionniste qui décrit les horreurs de la guerre (livre de dessins et gouaches, expositions au "Salon des moins de trente ans". Devient un fidèle de Saint-Germain des Prés où il fait la connaissance de Sartre, Artaud, Eluard, Ernst, Giacometti,Boris Vian, Tzara, Benjamin Péret, etc.Mais fréquente surtout Wols, Bryen, Michel de Ré, Greco, Astruc, Pommerand. Ainsi que Prévert, Gatti,
MerleauPonty, Beauffret, Hubert Juin, J.-J. Marchand, H. Langlois, Aghion, Isou, Roger Blin, Roger Vaillant.
SUISSE
1945
Première exposition personnelle: Maison de l'université, Galerie des Etudiants d'Art, place de la Sorbonne.
Exposition qui circulera ensuite à Zurich, Berne et Genève (en 1946). A Berne il découvre certaines oeuvres de Paul Klee,
dans la maison de son fils, qui sont des écritures d'influence orientale et africaine.
Ce primitivisme poétique le séduit et l'éloignera de l'expressionnisme abstrait.
PARIS
Il montre ses premiers idéogrammes-écritures grâce à Gérard Jarlot et J.-J. Marchand, dans une exposition de groupe,
Galerie du Luxembourg, rue Gay-Lussac, Paris. A cette occasion il fait la connaissance de Léon Degand, grand défenseur de l'art abstrait et critique aux Lettres Françaises qui le fait inviter au le, Salon des Réalités nouvelles de 1947 mais lui conseille une écriture plus abstraite, plus géométrique et surtout moins primitive, en oubliant Klee et en regardant plutôt les dernières oeuvres de Kandinsky.1947 Montre ainsi, dans cet esprit, la première grande toile (2 m x 1,40 m) aux "Réalités nouvelles" et "Sur 4 murs" chez Maeght, mais revient presque aussitôt aux sténo-graffiti automatiques, aux idéogrammes et aux signes qu'il juge plus spontanés et plus poétiques.
MIDI DE LA FRANCE
Voyage dans le Midi de la France, l'Italie, les Alpes et va relever les inscriptions rupestres de la Vallée des Merveilles.
Il retrouve Maeght à Cannes qui l'invite à la première exposition des "Mains éblouies" où il exposera une petite toile avec idéogramme et des sténograffiti sur papier.
SCANDINAVIE
Poursuit ses voyages, en Scandinavie, et expose à Stockholm, Galerie Samlaren, avec Wols, sans grand succès.
Parvient cependant à vendre ses oeuvres anciennes et figuratives.Ce qui lui permet de prolonger son séjour pendant une année,
d'étudier les écritures runiques et d'aller l'hiver en Laponie.
ITALIE
Retour en Italie après un arrêt en Allemagne et en Suisse. A Turin, un ami philosophe lui fait connaître les oeuvres futuristes
avec écritures automatiques et lettres monumentales. Il envoie une gouache avec idéogrammes aux "Mains éblouies" Galerie Maeght.
Rentre en France en juillet. Rencontre à Cannes Dmitrienko et Rezvani qui lui présentent Arnal et tous décident de former un groupe d'artistes abstraits non géométriques et poétiques. Ce qui aboutit d'abord à la création d'un club "La Boîte à ordures"
de style Saint-Germain des Prés entièrement décoré de graffiti .
PARIS
Revient à Paris, rue Jacob et rue Campagne-Première
Par Chapoval est présenté à Charles Estienne qui préconise un engagement sans équivoque pour un art abstrait lyrique,
tandis qu'Hartung lui conseille de plus grands formats avec une écriture plus ample et plus gestuelle.
1949
Maeght propose de mettre à la disposition des jeunes artistes la Galerie Mai, rue Bonaparte. Ainsi se forme le Groupe Arnal,
Dmitrienko, Rezvani, Quentin et quelques autres. Puis, retour momentané à l'architecture pour étudier avec Le Corbusier et Trouin-Montalté
l'implantation d'une Cité d'artistes à la Sainte-Baume, que ceux-ci pourraient construire eux-mêmes, suivant la loi des castors.
Parallèlement, réalise différents travaux d'architecture ou en collaboration avec des architectes, pour l'intégration de la poésie
et de la couleur dans l'environnement par le scriptural monumental: mosaïques, vitraux, tapisseries, polychromies urbaines, espaces verts.
1950
Exposition personnelle Galerie Mai-Maeght, abandon progressif de l'écriture minuscule pour des signes plus grands, plus architecturés
1952
Evolution des signes vers des formes moins géométriques pour devenir dynamiques, gestuels et épiques
AMÉRIQUE LATINE & AFRIQUE
1954
Période des Batailles. Voyages au Brésil, au Pérou et en Afrique: polychromies d'immeubles à Niamey Bamako.
VARSOVIE, MOSCOU, PRAGUE
Est invité à la fin de la reconstruction de Varsovie avec 30 artistes et architectes. A cette occasion visite Moscou et Prague.
1957
L'évolution de sa peinture tend de plus en plus vers l'éclatement de signes pour se dissoudre dans "1a matière" qui devient prépondérante.
Michel Tapié le fait entrer alors à 1a Galerie Stadler dont c'est la tendance.
Mais la "matière" devenant une mode envahissante il recherche maintenant 1a fluidité des lavis pour exprimer en peinture l'eau, l'air, la lumière.
Exposition personnelle Galerie Craven Galerie Iris Clert, et exposition "Hommage à Monet", Galerie Saint Germain, Paris.
1959
Cinquième exposition personnell à Paris, Galerie des 4 Saisons.
1960
De ces espaces flous qui se transformeront ensuite en grouillements de foules avec écritures et contrepoints et en graffitis géants.
Les lettres et les mots sont alors isolés pour devenir le thème principal du tableau.
ITALIE
Quentin retourne en Italie, il habite Milan pendant deux années. Devient l'ami de Fontana, Manzoni, Castellani.
Retrouve Rotella, Yves Klein, Spoerri, Arman qui effectuent là de fréquents voyages.
1961
Montre ses oeuvres à Turin chez Pistoï, à Milan chez Apollinaire (Le Nocci).
Participe à l'Anti-Procès à Venise (qu'il avait organisé à Paris avec Alain Jouffroy et J.-J. Lebel.
Fait un tableau contre la Torture, à cette occasion). Il entreprend des recherches chez Oli vetti avec des machines: oscilloscopes ordinateurs, etc.
Montre ces travaux à la "Piccola Biennale" d'Iris Clert à Venise. Crée sa première sculpture gonflable chez Pirelli Cybule I.
A partir de cette époque, délaisse totalement la peinture, au terme d'une longue réflexion personnelle et de fréquents échanges avec
Fontana,lequel par 1e "spatialisme" prône un art élargi et libéré du carcan du tableau.
En conséquence, il change l'échelle de ses oeuvres et prend position contre l'Art-marchandise pour se consacrer à la transformation de l'environnement par l'architecture-sculpture, le monument, le design, avec participation du public.
Parce que le rôle de la peinture lui semble subitement dérisoire dans la communication visuelle de notre civilisation où la T.V.,
la B.D. et le cinéma ont pris la place qu'elle avait au siècle précédent.
ITALIE
Après l'accueil inoubliable de l'Italie où ses conceptions sur l'avenir de l'art avaient été si bien comprises, surtout à Milan,
il décide de les propager en Amérique.
U.S.A.
1963
Il part aux Etats-Unis où il habitera pendant deux ans. Son arrivée coïncide avec la pleine mode du Pop Art et la pleine hostilité envers Paris.
Il expose, avec beaucoup de difficultés et de tracasseries une sculpture gonflable palpitante à respiration programmée (Cybule III, mural) au World's Fair, sans grand écho. Dali toutefois l'encourage et voit en lui le pionnier de l'art cybernétique et de l'écriture électronique.
1964
Alors que le Pop Art monopolise l'intérêt il rencontre à nouveau son supporter, L. Alloway, directeur du musée Guggenheim où il
devait faire ce que l'on nommait alors un "happening" (avec un environnement gonflable).
Finalement il se heurte à un refus: son interlocuteur parle à nouveau de la "peinture éternelle" et ne veut plus entendre parler de sculptures gonflables et de paysages monumentaux.
Quentin, néanmoins devient ami de Liechtenstein, Warhol et aussi de Duchamp qu'il a connus grâce à Arman (dont il partage l'atelier).
Il va ensuite au Texas, où son travail est plus apprécié. Notamment par Dominique de Menil et Sweeny à Houston
MEXIQUE, CALIFORNIE
Il fait un voyage au Mexique, s'arrête en Californie où il sera un peu plus tard invité-enseignant à l'Environnemental College de l'université de Berkeley.
FRANCE
1965
Rentre en France et se marie en Provence avec Florence Cibiel.
ITALIE
1966
Retour en Italie pour réaliser d'autres structures gonflables avec Plasteco-Milano (en P.V.C. soudé).
New York pour présenter à nouveau l'environnement gonflable dans le "Ball Room" du Waldorf Astoria et au Central Park sur l'eau, cette fois avec succès.
CANADA
Il se rend à Montréal pour préparer l'étude du Pavillon français de l'Expo-67 avec Fougeron, avec l'espoir d'en réaliser la super-structure en "gonflable".
Pour ces structures gonflables, il reçoit des centaines de lettres du monde entier, alors que pour sa peinture il n'en avait reçu qu'une en vingt ans.
PARIS
1967
Exposition d'un environnement gonflable à Paris, à Neuilly au Studio-Ciné de Gunther Sachs. Au Blow-Up Club de Milan.
ITALIE
1968
Nouveau séjour en Italie. Recherches sur le design chez Gavina à Bologne, Cassina à Méda, Zanotta à Monza. Réalise à Modène une carrosserie de voiture qui courra aux "24 heures du Mans" (Volpi Serenissima).
1969
Sculptures géantes gonflables et flottantes pour Jeux nautiques sur la Méditerranée (Port-Barcarès).
JAPON
1970
Conception du Pavillon français pour Osaka 1970 au Japon, structure gonflable.
CHICAGO
1974-1975
Bicentenaire des U.S.A. Création de la Vénus gonflable et de poèmes gonflables et ambulants.
PARIS
1976
Arrêt des structures gonflables pour revenir au scriptural monumental, aux Rues-Poèmes et Objets-Poèmes, Bijoux, Livres, etc.
Plus tard, ce seront les alignements pour autoroutes.
1977
Co-fondateur de "Art + groupe de 12 artistes réunis autour dé Restany: Damian, Soto, Raynaud, Messagier, Kowalski, Malaval,
Sanjovan, Xifra,Forest, Miralda, Enu afin de prolonger l'art dans l'environnement.
1978
Exposition Unesco et Galeri Larcade, Paris: "L'Art dans le Désert" Exposition au Forum des Halles, Paris (pour l'inauguration) "Monument anamorphoses".
ARABIE SAOUDITE
1979-80
Voyage en Arabie saoudite pour commencer l'édification des monuments dans le désert (à Ryad et Djeddah).
1985
Expositions à Sâo Paulo (Galerie Frigeredo) Rio de Janeiro - Galerie Bonino.
1986-87
Expositions à Munich, Bruxelles, Nice, Ajaccio, Paris.
1987
Hommage à Tokyo. Exposition de kakémonos en calligraphies japonaises et europénnes à Tokyo. Galerie Minatoku-Aoyama.
1988-89
Projet Palladio (Vicence) pour montagne sculptée au bulldozer avec incision calligraphique géante en anamorphose.
1989
Expo. Bicentenaire - New York.
1990
Exposition maison de la culture (Amiens) Picardie.
1990
Projet de sculptures géantes (100 m) pour le désert de Modaje, Californie (3 tours inclinées relatant l'histoire de l'écriture du
cunéiforme aux fibres optiques et au laser).
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Georges Braque
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Georges Braque
Georges Braque est né le 13 mai 1882 à Argenteuil-sur-Seine (Val-d'Oise) dans une famille de peintres-décorateurs en bâtiment. R32;Il à huit ans quand sa famille déménage au havre. De 1897 à 1899, il se rend aux cours du soir des beaux-arts et entreprend ensuite de suivre les traces de son pére en s'engageant dans un apprentissage de peintre-décorateur. R32;Ce qui lui permet à 18 ans de se rendre à Paris pour parfaire sa formation, il y apprend les techniques du trompe-l’œil, le faux bois ou le faux marbre, éléments qui seront déterminants dans l’évolution du Cubisme. R32;Après son service militaire, il s'installe défénitivement à Paris (rue Lepic à Montmartre) et reprend des cours de dessin à l’Académie R32;Humbert (de 1902 à 1904) où il fait la connaissance de Francis Picabia et Marie Laurencin. R32;Il se rend souvent aux musées du Louvre et du Luxembourg et fréquente les galeries parisiennes. R32;Braque à une seule idée en tête, devenir artiste peintre. R32;Georges Braque commence à peindre dans un atelier loué rue d’Orsel, en face du Théâtre Montmartre. R32;Inspiré par Cézanne et le fauvisme,
ses premiers paysages de L'Estaque et de La Ciotat, en 1906 et 1907, à l'entrée de l'exposition des Indépendants affichent des couleurs gaies, pures et le trait reste gros et spontané. Braque y rencontre un certain succé, plusieurs de ses toiles sont vendues. R32;Après sa découverte des "Demoiselles d'Avignon" de Picasso en 1909 au Bateau Lavoir où l'a emmené le poète Guillaume Apollinaire, R32;Braque opte pour une nouvelle vision de la peinture en cherchant à rendre les trois dimensions des objets vus par l'oeil sur ses toiles. R32;Le tableau des Demoiselles d’Avignon accompagne les recherches de Braque qui aboutiront au Grand Nu.R32;S'en suivent 5 ans de coopération intense entre Braque et Picasso qui lancent la phase analytique du cubisme en privilégiant les couleurs R32;monochromes et l'éclatement des formes. Ils passent ensemble l'été 1911 à Céret (Pyrénées, sud). R32;"On se voyait tous les jours et on parlait beaucoup. R32;On comparait nos réflexions, nos tableaux et nos techniques, et nous n'étions pas toujours d'accord mais c'était gratifiant pour les deux. R32;Notre amitié reposait sur l'indépendance ce chacun", a résumé Braque. R32;La coopération devint si intense que les deux peintres refusèrent un moment de signer leurs oeuvres, ce qui créé encore aujourd'hui parfois la confusion.R32;En 1912, profitant d'une absence d'un mois de Picasso, toujours très friand de nouvelles techniques, Braque expérimente seul le papier collé, après avoir trouvé dans un magasin de décoration du papier peint "faux bois". R32;Avec quelques traits au fusain et une feuille de ce papier peint couleur bois Georges Braque compose alors ses tableaux d'instruments de musique comme La Guitare (1912-1913) épuré mais très suggestif. A son retour Picasso est emballé et adopte la nouvelle technique immédiatement. R32;Par d'autres collages d'extraits de journaux sur des esquisses de gueridons, Georges Braque fait entrer l'actualité dans ses toiles. R32;En 1914, il est enrôlé dans l'armée française et est envoyé au front en novembre. R32;Son ami Picasso, de nationalité espagnole, y échappe. Blessé grièvement à la tête et trépané Braque ne peint plus jusqu'en 1917. R32;Mais cette période dramatique ne filtre pas dans ses oeuvres. R32;Il n'en parlait jamais, il a digéré cette période dans son fort intérieur et est resté un homme de l'harmonie et de la beauté. R32;L’évolution du travail de son ami Picasso le déconcerte et leur collaboration se termine.
Pendant plus d'un quart de siècle le peintre se spécialise alors dans les natures mortes, ustensiles de cuisine, fruits, verres, bouteilles tout en développant une fascination pour les perspectives inattendues "pour atteindre la plénitude des choses" selon lui R32;et en expérimentant l'ajout de sable, de galets, plâtre et autres matières dans ses toiles.
Son art est mondialement reconnu : rétrospective à Kunsthalle de Bâle en 1933, aux Beaux-Arts de Bruxelles en 1936, au Musée d'Art Moderne de New-York en 1949 ;
prix Carnegie en 1937 ; Grand Prix de la peinture à la Biennale de Venise en 1948. Seul peintre dont une oeuvre est exposée au Louvre de son vivant -- le plafond de la salle des Etrusques -- Georges Braque meurt le 31 août 1963 (à l'âge de 81 ans) dans son appartement parisien. R32;Il est enterré au cimetière marin de Varengeville, dont l'église porte les vitraux qu'il avait lui-même réalisé. R32;Le ministre de la Culture de l'époque, André Malraux, lui organisa des funérailles nationales. R32;C'est l'une des grandes figures de l'art du XXe siècle.
"Quand je commence, il me semble que mon tableau est de l'autre côté, seulement couvert de cette poussière, la toile. Il me suffit d'épousseter. R32;J'ai une petite brosse à dégager le bleu. une autre le vert ou le jaune : mes pinceaux. Lorsque tout est nettoyé, le tableau est fini."R32;
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Miguel Sancho
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Eduardo Infante
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Alexandra Duprez
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Jan Saudek
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Claude Fauville
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Tristan Cassamajor
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Beniti Cornelis
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Godfried Donkor
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Eugene Von Bruenchenhein
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Barthélémy Toguo
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Marion Sellenet
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Marion Tivital
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